mercredi 1 juillet 2009

Dans la proposition de la maison de quartier du Pont Morineau j'y ai vu très vite l'occasion d'interroger la notion de "PASSAGES" chère à Walter Benjamin mais aussi à Georges Pérec, avec l'idée que le "passage" n'était plus le jardin mais la ligne mythique joujouillesque tracée dans le jardin de Monsieur et Madame Rampillon, ligne qui reliait le 39 Rue Edouard Pelletier à l'impasse du Four à Pain jouxtant la cour de l'école, Ligne fixe, fixée, serpentante, contournant les obstacles où les affrontant, ligne créant de l'image, du rêve, du jeu, de l'énigme .....

1 commentaire:

Colette Gerard a dit…

Bonjour Carol, Yseult et stéphane,

Voici un bout de temps que l'on ne s'est pas vu ! Et l'art toujours en action.
Belle année à vous
Bises de Kolett

Souvenirs : il y a 17 ans, j'habitais au har avec Emmanuel. Depuis, bien des voyages et des aventures.

Kolett@laposte.net